Martine :

- Etymologie : dédiée à Mars

- Fête : le 30 janvier. Martine de Rome a été arrêtée par les Romains, alors qu'elle priait. Elle a été torturée mais à converti ses bourreaux, jetée en pâture aux lions qui se couchèrent devant elle. Finalement, elle a été décapitée. Deux aigles veillèrent sur sa dépouille, ne laissant approcher qu'un chrétien pour inhumer son corps.

- Le choix de ce prénom : j'étais la 3ème fille de la famille. Mon père, Marcel, aurait voulu perpétuer la tradition familiale qui dit qu'un fils reprend le prénom du père. Il proposait donc de m'appeler Marcelle ou Marceline. Mes sœurs, assez grandes pour donner leur avis, n'aimaient pas ces prénoms. L'aînée proposa donc "Martine" en argumentant que ce prénom ressemblait aux choix de mon père tout en étant plus "joli". Ce n'est que très récemment que j'ai perçu le lien transgénérationnel de mon prénom : ma sœur aînée (donc "future reine de famille") choisit mon prénom en regard de la tradition familiale puisque celui-ci commence comme celui de mon père (lui-même portant celui de son propre père) MARcel et se termine comme celui de ma grand-mère paternelle, pour laquelle mon père avait un amour sans limite : églanTINE. Quelle belle loyauté familiale sans en avoir conscience.

Depuis l'automne 2011, ma grand-mère maternelle, Alice, m'accompagne dans la vie comme dans mon travail. C'est donc avec l'aide de mes deux grands-mères (entre autres) que je poursuis ma Légende Personnelle.

Forte de ces cadeaux familiaux dont je n'avais pas encore conscience, la première partie de ma vie professionnelle s'est déroulée de manière tout à fait conventionnelle. Puis, un jour, l'évidence s'est révélée : j’ai eu la folle envie, voir même le Besoin d’entreprendre une formation en réflexologie. Ensuite, les autres formations se sont vite enchaînées. Quand on « met un pied » dans ce domaine, il est difficile de s’arrêter.

Depuis 2009, j'ai ajouté quelques cordes à mon arc en suivant une formation en Systémique et transgénérationnel. J'avais besoin d'allier les ressources énergétiques à celles de la conscience.

Mes formations :

 

-Réflexologie, (agréée Asca), formation d’un an dans le cadre de l’A.R.T, à Neuchâtel, cours donné par Karin Vidal

-Métamorphose, (agréée Asca), chez Francine Neuhaus à Genève

-Reiki 1^er et 2^ème degrés, au Cendre Surya, chez Carolyne Moullet à Villarimboud

-Reiki 3^ème degré, chez André Baechler, Villars-sur-Glâne

-Lithothérapie, avec Ghislaine Pasquier à Pringy

-Aromathérapie énergétique, avec Karin Vidal, centre Kaloha, Peseux

- Sensibilisation à l'approche Systémique avec Sylviane Pfistner, directrice d'Espace Ressources (voir onglet "liens") et Dominique Sauzet, tous deux spécialistes en intervention systémique, superviseurs et formateurs.

- Génosociogramme avec Sylviane Pfistner, directrice d'Espace Ressources (voir onglet "liens") et Dominique Sauzet, tous deux spécialistes en intervention systémique, superviseurs et formateurs

- Animatrice en action communautaire avec Sylviane Pfistner, directrice d'Espace Ressources (voir onglet "liens") et Dominique Sauzet, tous deux spécialistes en intervention systémique, superviseurs et formateurs

 

Et puis aussi....

 

J’ai également suivi un cours de radiesthésie, d’approche d’acupressure et, dernièrement, de channeling, chez Francine Neuhaus à Genève. Ces deux formations m’ont permis de m’ouvrir à d’autres perceptions, d’autres ressentis.

 

Toutes ces expériences m’ont évidemment emmenée sur le chemin d’un certain développement personnel. J’y ai énormément appris sur moi, sur la Vie, sur les Autres, sur les idées de concept Espace-Temps. J’ai appris à observer le monde qui m’entoure et surtout à écouter l’Autre. Toutes ces compétences sont liées les unes aux autres. Il n’y a pas un uniforme pour la réflexologie et un autre pour le reiki. Tous ces apprentissages forment un tout qui ne cesse de se transformer avec les connaissances apprises successivement.

 

Les expériences personnelles et professionnelles m’ont également beaucoup donné. Personne ne « sait » à la place de l’Autre, mais peut voir ou percevoir les difficultés ou les doutes d’une autre manière. Je préfère dire que j’utilise les outils que j’ai reçus, comme chacun de nous. J’ai peut-être juste pris le temps d’étudier quelques un des modes d’emploi qui sont à notre disposition et me fais le plaisir de les mettre un peu plus en Lumière avec celui qui le demande.

 

Grâce ces connaissances, j’ai pu consolider mon « non-jugement » et la patience. Voir le moment qui passe, apprécier l’instant, ne pas oublier que le passé est vécu et le futur n’est qu’imaginaire. Vivre aujourd’hui ce cadeau que l’on nomme le Présent.

 

 

Mon « autre » vie professionnelle :

 

Après avoir obtenu un CFC d’employée de commerce, la vie m’a apporté de bien beaux cadeaux : 3 enfants, auprès desquels j’ai choisi de rester (12 ans), afin de les accompagner sur les débuts de leurs chemins. Puis, un nouveau « coup de folie » m’a emmenée, en 2007 vers de nouveaux horizons.

 

Durant 4 ans, j'ai travaillé dans un home pour personnes âgées en démences, plus couramment appelé EMS psycho-gériatrique.

 

Ces « anciens » souffrant de diverses pathologies psychiques ou psychiatriques apportent, chacun, son lot de merveilles pour celui qui les côtoie et partage leur quotidien. Ce travail est difficile et il est impératif de pouvoir accepter le chemin de l’autre pour tenir le coup moralement. A l’inverse d’un hôpital, lieu de soins, dans lequel, en général, on retrouve la santé, dans un EMS, les gens qui partent rejoignent l’autre monde. Il faut impérativement accepter cette fin et se contenter d’apporter le meilleur à ces personnes dans la dernière étape de leur vie.

 

Partager la vie de ces « anciens » différents a été un cadeau de la Vie qui m'a profondément touchée et transformée.

En 2011, j'ai choisi de quitter cet environnement tout en sachant que je ne quitterais pas le monde social. Je voulais faire de "l'accompagnement". Un métier qui n'existait pas (en tout cas, je le pensais) et qui serait voué à l'écoute et au soutien de familles en difficultés émotionnelles, relationnelles, matérielles et sociales en raison d'un handicap ou d'une maladie touchant l'un de leur membres.

On m'a même suggérer de créer ce job !

Inutile de le créer puisqu'il existait déjà !

Depuis décembre 2011, j'ai donc le privilège d'accompagner les familles de l'ARFEC (Association romande des familles d'enfants atteints d'un cancer) dans leur cheminement avec la maladie. J'y découvre un monde que je connaissais un peu, mais si peu. La leucémie d'une de mes nièces m'avait montré une toute petite partie de cet iceberg.

www.arfec.ch

Voici donc l’histoire de la naissance et du parcours de Tou’ch’ange, jusqu'à ce jour.

(dernière mise à jour : .16.11.2014)